JULIEN-LAFERRIERE Didier

Il apparaît que ce nouveau projet d’urbanisation massive résulte de l’incapacité de l’Etat à avoir fait respecter ses obligations à une société privée, que la procédure dite PIL ne se justifie pas puisque la ville de Gagny remplit déjà largement ses obligations en terme de projets de création de logements, et que la sécurisation de 20 maisons sera financée par la promotion immobilière et la construction sur la quasi totalité des 15 ha concernés.. C’est donc un nouvel espace de nature en ville qui devrait disparaître ? Une autre ambition est possible, voir les exemples des zones de nature conservées sur les sites de carrières des communes voisines.

M. JULIEN-LAFERRIERE Didier (12/05/19)